Le laboratoire de microbiologie du CETELOR offre :
-Nouveau protocole mis au point au CETELOR et adapté à tous les matériaux.
-Test selon les normes suivantes:
La plupart des micro-organismes présents dans les textiles, les champignons, les actinomycètes et les bactéries proviennent de l’air, du sol et de l’eau. Certains des micro-organismes sont nocifs pour les fibres ou le consommateur. Ils peuvent décomposer la cellulose ou les protéines de fibre ou affecter la santé du consommateur. Comme la teneur minimale en humidité pour le développement du micro-organisme est de 7%, le stockage à sec est une mesure efficace de prévention.
Certains des micro-organismes sont utiles, par exemple dans le procédé de rouissage, dans lequel les fibres ont été libérées des tiges desdites plantes à fibres telles que le lin, le chanvre et le jute.
Le CETELOR teste la résistance des matériaux aux attaques de microorganismes et identifie les champignons.
Textile
1. Textile -Détermination de l’activité antifongique des produits textiles, selon la norme NF ISO 13629-2 (2014)
2. Évaluation de l’action des champignons microscopiques, selon la norme NF EN 14119 (2004)
3. Résistance microorganismes –Enfouissement, selon la norme NF EN 14119 (2004)
Plastiques et Biocomposites
1. Test de résistance à la moisissure selon la norme ISO 846-1997.
Essais microbiologiques sur plastiques
(Incubation de 28 jours)
2. Test de résistance à la moisissure selon la norme MIL STD 810G – Méthode 508.6
(Incubation 28 jours)
Isolation
1. Test de résistance à la moisissure selon la norme EN 15101-1 2014(F)
Produits isolants thermiques destinés aux applications du bâtiment. – Isolation thermique formée en place à base de cellulose (LFCI). –
Partie 1 : spécifications des produits en vrac avant la mise en place (indice de classement : P75-454-1PR).
(Incubation 28 jours)
Degradation
1. Test de résistance à la dégradation selon la norme NF EN 113 Décembre 1996
Produits de préservation du bois – Méthode d’essai pour déterminer l’efficacité protectrice vis-à-vis des champignons basidiomycétes lignivores
– Détermination du seuil d’efficacité.
(Incubation 16 semaines)